lunes, 21 de diciembre de 2009

martes, 15 de diciembre de 2009

« L’exemple danois » – vers une économie privilégiant l’efficience énergétique et l’éco-énergie


document COP15 _ COPENHAGEN

L’expérience danoise montre qu’une politique énergétique volontaire et persévérante, mettant l’accent sur une meilleure efficience énergétique, permet de maintenir une croissance économique forte tout en réduisant la dépendance aux carburants fossiles et en protégeant l’environnement.

En termes de production, le Danemark est l’un des utilisateurs d’énergie les plus efficients si on le compare aux autres Etats membres de l’UE et pays de l’OCDE. Ceci vaut également pour les émissions de CO2 par rapport à la production. En dépit d’une consommation d’énergie relativement faible, le Danemark compte parmi les pays de l’UE et de l’OCDE qui réduisent le plus efficacement, de façon continue, leur dépendance énergétique et leurs émissions de CO2. A l’échelle internationale, le Danemark appartient donc à un groupe de pays se caractérisant par des intensités énergétique et CO2 relativement faibles, qu’il a su par ailleurs réduire davantage que la moyenne depuis plus de 25 ans.

Depuis 1980, l’économie danoise a connu une croissance de 78 % alors même que la consommation d’énergie restait relativement constante et que les émissions de CO2 diminuaient. Cette évolution reflète une meilleure efficience énergétique et CO2. Une majorité de pays témoignent d’améliorations sous-jacentes de leur efficience énergétique et CO2, mais l’amélioration obtenue par le Danemark est parmi les plus importantes de la zone OCDE.

Par ailleurs, la composition de la consommation d’énergie au Danemark a beaucoup changé à la suite de mesures politiques visant à promouvoir l’utilisation des énergies renouvelables. Aujourd’hui, celles-ci représentent plus de 19 % de la consommation finale d’énergie du pays.1

Ceci a augmenté la sécurité de l’approvisionnement énergétique et contribué de façon importante à l’atteinte par le Danemark de ses objectifs climatiques. De 1990 à 2007, l’activité économique a progressé de plus de 45 % au Danemark alors que les émissions de CO2 diminuaient de plus de 13 % (chiffre corrigé pour tenir compte des fluctuations climatiques et de l’échange transfrontalier d’électricité).

Ce document présente la manière dont le Danemark est parvenu à maintenir sa croissance économique sans quasiment augmenter sa consommation d’énergie et en réduisant ses émissions de CO2.

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jueves, 3 de diciembre de 2009

El Brillante3D // Laboratoire 0.2

groupe evo[i]lusion

3D: C'est l'un de 4 laboratoires qui ouvre l'Atelier Vivencial [TV] pour générer des projets de restructuration urbaines -architectoniques destiné à les secteurs émergentes. Cette atelier offre une alternative diffèrent de comprendre les phénomènes urbains, il stimule la reconnaissance de déficiences de structure, il évalue la possibilité de réorganiser la dynamique urbaine et établit des processus de travail avec la communauté dans l'obtention de réponses urbaines - architectoniques.








Royksopp - Remind Me

martes, 2 de junio de 2009

La beauté de la ville: Lima01

écrit par Juan LUJAN

La ville est un organisme vivant qui se développe et augmente sa complexité. Comme tout organisme, elle grandit, elle consomme de l’énergie et elle produit des gaspillages. Dans un processus continu elle se produit elle-même.

La ville évolue, c’est-à-dire, elle s’adapte aux conditions de ceux qui l’habitent, en transformant et en modifiant leurs caractéristiques. C’est aussi bien que nous pouvons observer, tout au long de l’histoire, comme les villes modifient leur structure pour être capable d’accueillir de nouvelles fonctions.

La ville a déjà laissé l’image de objet statique pour celui un d’organisme dynamique. Pour cette raison ce n’est pas possible d’observer sa beauté seulement en observant ses caractéristiques de forme, d’ordre, de dimension, de proportion, etc. Il faut reconnaître la complexité de la ville et avec elle, sa structure, son organisation et l’interaction des elements de la ville.

La beauté de la ville apparaît devant nos yeux comme l'émergence de l'interaction de beaucoup de structures en constante organisation que nous pouvons observer dans leur magnitude réel, en fonction de ce que nous savons d’elle.

Voir la beauté de la ville c’est comprendre qu’elle n’est pas un système isolé sinon, un système à l’intérieur d’une gamme complexe de systèmes qui constitue le grand réseau des villes. Par conséquence, la ville est globalité et au même temps, élément d’une globalité.

La complexité nous offre les nouveaux paradigmes de beauté. Où le plus important ce n’est pas la forme ou la masse mais, l’interaction des habitants entre eux et des habitants avec les structures qui forment tout ce que nous appelons ville.

Toutes les villes possèdent des systèmes complexes de rapports internes, où chaque élément du système, comme dans une ville, change la fonction d'un autre, c’est-à-dire, si nous changeons la circulation de voitures dans une avenue, tous les avenues annexes seront altérées.

Petit à petit la beauté de la ville se montre à nous, comme le renforcement des rapports entre les parties qui constituent la ville, c’est-à-dire la facilité qu’elle donne à leurs habitants de se développer. De cette manière nous observons la beauté d’une ville; une ville complexe où le chaos organisé est le protagoniste.